Des descendants de résistants arméniens, honorés mercredi 21 février, ainsi que des personnalités de la gauche, s’inquiètent de l’implication d’un parti d’extrême-droite lors de la cérémonie. Ce dernier est critiqué pour ses liens avec une idéologie qui n’est pas conforme aux valeurs de l’histoire et de la mémoire nationale. Cette présence soulève des questions sur le rôle du parti dans la célébration d’un patrimoine historique et la nécessité de respecter les valeurs fondamentales de la résistance arménienne.