Les pays développés ont convenu à Bakou d’augmenter leurs financements pour aider les pays pauvres à lutter contre le changement climatique. Ils ont promis de verser 300 milliards de dollars par an dans les dix prochaines années. Cette décision, prise lors d’une conférence de l’ONU, a été saluée par certains, mais a été perçue comme insuffisante par les pays en développement. Ils se sont sentis déçus par le manque de progrès et de mesures concrètes pour répondre à leurs besoins.