Notre compréhension du récepteur de protéines PD-1, cible principale des traitements contre le cancer, est principalement basée sur des études sur des souris. Une analyse approfondie de PD-1 a révélé que la version murine est significativement moins puissante que la version humaine. Cette découverte apporte de nouvelles informations sur le développement des traitements contre le cancer.
