Un rapport recent révèle que plus d’un tiers des viols sur mineur se produisent au sein des établissements censés les protéger. De plus, six fois sur dix, les victimes ne sont pas créditées lorsqu’elles s’expriment.
Face à cette réalité alarmante, les parents réclament aujourd’hui un mouvement similaire au #metoo, mais spécifiquement pour les enfants handicapés. Ils souhaitent que les victimes puissent se sentir écoutées et soutenues, et que les institutions s’engagent à protéger leurs droits.