Hugo Chávez a vivement critiqué les négociations sur le climat lors du sommet de Copenhague, affirmant que « si le climat était une banque, vous l’auriez déjà sauvé! ». Ses propos témoignent d’une impression de crise et d’impasse dans les efforts diplomatiques. La situation semble se trouver dans une impasse, avec des accords impopulaires ou peu convaincants. Les termes choisis par Chávez suggèrent la frustration du président et la nécessité urgente d’actions concrètes pour sauver le climat.