Le malaise social actuel, marqué par une défiance envers les institutions et une augmentation de l’abstention aux élections, fragilise la démocratie politique. Ce contexte tendu soulève la question : les salariés, confrontés à ces difficultés, attendent-ils une forme de démocratie plus forte dans l’entreprise?
L’absence de participation active et la frustration face à l’inégalité et aux injustices sociales pourraient pousser les travailleurs à réclamer une plus grande autonomie et un engagement démocratique au sein de leurs organisations.