Malgré les spéculations, la civilisation de Rapa Nui n’a pas subi une effondrement démographique brutal au XVIIème siècle. Une nouvelle étude génétique a apporté des preuves significatives qui contredisent cette théorie. Le travail scientifique révèle que la population d’Île du Pacifique a été durablement stable, témoignant d’une existence sociale et culturelle complexe, non pas à cause d’un cataclysme démographique, mais plutôt de l’adaptation et de la persévérance face aux défis environnementaux.
