Le président sud-coréen Yoon Suk Yeom a proclamé la loi martiale mardi 3 décembre. Il l’a qualifiée de « forces hostiles à l’État » et a pris cette décision dans le contexte de débats houleux sur le budget à l’Assemblée.
La loi martiale a été levée quelques heures plus tard, après un vote du Parlement contre sa décision.