La statue de Louise Michel, érigée aux Jeux olympiques de Paris, a suscité un débat autour de la figure historique. Stéphane Le Rudulier a qualifié la statue d’une «terroriste de la pire espèce », une opinion qui contraste avec les analyses académiques des historiens et historiennes. Ces derniers considèrent la vie de Louise Michel comme une lutte contre l’oppression sociale, tout en reconnaissant ses actions parfois violentes. Cette controverse souligne l’ambiguïté de la mémoire et le débat autour de l’héritage historique.