Gaza est une enclave palestinienne située sur la côte méditerranéenne, au sud de la Palestine. Elle est contrôlée par le Hamas depuis 2007 et est confrontée à une situation humanitaire difficile, marquée par des bombardements israéliens et des restrictions économiques.
La situation à Gaza est marquée par un conflit armé entre Israël et le Hamas. Les bombardements israéliens ont causé de nombreuses victimes civiles, et les restrictions économiques ont aggravé la crise humanitaire.
La crise humanitaire à Gaza est grave. Plus de 2,5 millions de personnes sont menacées de famine, et des milliers de civils ont été tués. Les organisations humanitaires appellent à un cessez-le-feu pour permettre l’accès aux soins médicaux et aux biens essentiels.
Le Hamas a appelé à un cessez-le-feu, mais sous réserve que l’armée israélienne respecte les accords. L’armée israélienne a affirmé qu’elle ne cessera de cibler les groupes terroristes, et a démenti les accusations d’un nettoyage ethnique.
Le Qatar a suspendu sa médiation entre Israël et le Hamas après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Le Qatar a joué un rôle important dans les négociations de paix, mais sa suspension soulève des questions sur l’avenir de la médiation.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a condamné les attaques contre les forces de maintien de la paix. Les pays du G20 ont appelé à un cessez-le-feu et à une protection des civils. Des sénateurs américains ont tenté de bloquer une vente d’armes à Israël, accusant l’administration Biden d’être « complice » des « atrocités » à Gaza.
La situation à Gaza est complexe et difficile à résoudre. Il est important de trouver un cessez-le-feu pour permettre un accès aux soins médicaux et aux biens essentiels. La médiation est essentielle pour trouver une solution durable à la crise.
Les scènes de la dernière libération de captifs à Gaza ont suscité la colère des Israéliens et ont exacerbé l'incertitude concernant les prochaines étapes d'un accord de cessez-le-feu en plusieurs phases.
Trois nouveaux otages libérés de la bande de Gaza sont arrivés en Israël ce samedi 8 février. Après seize mois de captivité, leur état de santé est préoccupant. Le Hamas a condamné ce qu'il a qualifié de "meurtre à petit feu" des détenus palestiniens dans les prisons israéliennes, après l'hospitalisation de sept d'entre eux.
L'accord de cessez-le-feu à Gaza prévoit un cinquième échange d'otages entre Israël et le Hamas. Ce dernier devrait libérer trois Israéliens et 183 Palestiniens. L'échange s'effectuera samedi.
Le Hamas a annoncé l'identité de trois otages israéliens qui doivent être libérés ce samedi, conformément à l'accord signé en janvier avec Israël. Ces trois hommes, dont un Israélo-allemand, sont attendus de retour dans leur pays. L'annonce a été faite par le Hamas, qui a confirmé l'accord de libération des otages.
L'incertitude persiste quant à l'issue prochaine des échanges d'otages israéliens contre prisonniers palestiniens. Les familles des détenus augmentent la pression sur le Premier ministre Netanyahu, demandant une finalisation de l'accord. La situation est tendue depuis les déclarations de Donald Trump, qui a proposé de déplacer plus de 2 millions de Palestiniens hors de Gaza.
Donald Trump refuse de se rétracter sur son plan de chasser les Palestiniens de Gaza. Il affirme que la région sera remise à l'État hébreu à la fin de la guerre, sans intervention de l'armée américaine. Ce plan a suscité une forte réaction. Jacob Rogozinski, professeur émérite à la faculté de philosophie de Strasbourg, a analysé ce plan controversé.
L'État d'Israël attend une nouvelle liste d'otages libérables, qui doit être transmise par le Hamas ce vendredi 7 février. Ce serait le cinquième échange depuis le début de la trêve à Gaza. La situation est en attente d'une nouvelle liste d'otages libérables, qui devrait être transmise par le Hamas.
Le Hamas a annoncé l'identité de trois otages israéliens qui doivent être libérés ce samedi, conformément à l'accord signé en janvier avec Israël. Ces otages sont trois hommes, dont un Israélo-allemand. L'annonce a été faite par le Hamas, qui a également publié une photo de ces otages.
La région a pris une importance croissante pour l'activité familiale. Jared Kushner, le fils-in-law du président, a déclaré l'année dernière que "les propriétés frontalières de Gaza pourraient être très précieuses".
Le président avait évoqué l'idée pendant des semaines, mais aucune réunion n'avait été organisée. Les membres les plus expérimentés de son gouvernement étaient pris au dépourvu par cette initiative.
Les chants des baleines présentent des motifs complexes.
Il est peu probable que les perspectives d'une création d'un État palestinien à côté d'Israël puissent se concrétiser. Si les États-Unis prennent le contrôle de Gaza et déplacent la population, comme le propose le président Trump, ce scénario pourrait disparaître.
Les plans ambitieux de Donald Trump concernant l'enclave ont exclu toute idée de progrès dans les négociations de cessez-le-feu.
Après le gel de l'aide étrangère, les États-Unis ont décidé de fermer l'Agence américaine pour le développement (Usaid). Cette décision a suscité des inquiétudes au sein des ONG. L'Usaid gérait des milliards de dollars pour l'aide et le développement dans le monde. Certains programmes ont dû être interrompus ou suspendus en Afrique, à Gaza et en Ukraine.
Donald Trump a affirmé mardi 4 février que les États-Unis prendraient le contrôle de la bande de Gaza et la développeraient économiquement pour en faire la "Côte d'Azur du Moyen-Orient". La Maison Blanche tente de rétablir la nuance en affirmant que le transfert de population sera "temporaire" et que les États-Unis ne déploieront pas de troupes sur place.
Ce jeudi 6 février, Donald Trump a affirmé qu'aucun soldat américain n'était nécessaire pour prendre le contrôle de Gaza et vider l'enclave de sa population. Il avait initialement proposé cette action mardi lors de sa proposition.
Le Hamas appelle à la tenue urgente d'un "sommet arabe" suite aux déclarations de Donald Trump concernant une prise de contrôle américaine de Gaza après la guerre entre Israël et le mouvement islamiste armé. L'organisation appelle à une réunion urgente des dirigeants arabes pour discuter de la situation et des conséquences de ces déclarations.
Le président américain a exprimé son ambition de "prendre possession" de l'enclave palestinienne et de la transformer en "Côte d'Azur du Moyen-Orient". Ces déclarations ont été prononcées au moment où les négociations sur la prolongation de la trêve entre Israël et le Hamas ont repris.
Donald Trump a proposé une prise de contrôle américaine de Gaza, incluant la reconstruction et la présence militaire. Le projet prévoit la relocalisation des Gazaouis vers la Jordanie ou l'Égypte. Cependant, ces pays s'opposent à cette idée. L'idée de la prise de contrôle américaine de Gaza est controversée et suscite des réactions négatives. L'ambassadeur d'Israël en France a confirmé que l'idée est étudiée par les États-Unis. L'image illustre…
Donald Trump a proposé une prise de contrôle américaine de Gaza. Ce plan prévoit la reconstruction du territoire et la présence militaire américaine. Les Gazaouis pourraient être relocalisés en Jordanie ou en Égypte. Cependant, ces pays s'opposent à cette idée.
Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison Blanche, a déclaré lors d'un point presse ce mercredi 5 février que l'administration de Donald Trump "va travailler avec ses partenaires dans la région pour reconstruire Gaza".
Donald Trump a proposé une prise de contrôle américaine de Gaza, incluant la reconstruction et la présence militaire. Le projet prévoit la relocalisation des Gazaouis vers la Jordanie ou l'Égypte. Cependant, ces pays s'opposent à cette idée. Cette proposition est controversée et suscite des réactions négatives. L'ambassadrice de Palestine en France a déclaré que cette initiative serait illégale et causerait des dommages irréparables. L'image illustre cette controverse, montrant…
Mardi, Donald Trump a annoncé vouloir transformer la bande de Gaza en "côte d'Azur du Moyen-Orient". Cette déclaration s'inscrit dans le contexte de ses propos d'octobre dernier lors de la campagne présidentielle, où il estimait que l'enclave palestinienne pourrait être "mieux que Monaco".
L'administration américaine a clarifié les propos de Donald Trump concernant le contrôle de Gaza, affirmant qu'aucun engagement militaire n'est prévu. Des images illustrant la situation ont été diffusées par des médias.
Le président américain Donald Trump a reçu au sein de la Maison Blanche le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Cette rencontre a eu lieu après que Trump ait exprimé son souhait que les Palestiniens quittent la bande de Gaza dévastée.
Donald Trump a proposé une initiative controversée concernant Gaza. Son plan prévoit une prise de contrôle américaine de la bande de Gaza, incluant des projets de reconstruction et la présence militaire. Les Gazaouis pourraient être relocalisés vers la Jordanie ou l'Égypte, mais ces pays s'opposent à cette idée.
Le président américain Donald Trump recevra ce mardi 4 février le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à la Maison Blanche. C'est le premier dirigeant étranger invité à la Maison Blanche depuis le retour de Benjamin Netanyahu au pouvoir. Ce moment est particulièrement délicat, car des négociations sur Gaza sont en cours.
Pendant près de 16 mois, des centaines de milliers de Palestiniens déplacés ont vécu dans des tentes, privés de retour au nord de Gaza. Lundi, Israël a autorisé leur retour.
Des dizaines de milliers de Palestiniens déplacés ont parcouru des kilomètres pour retrouver leurs maisons dans le nord de Gaza, près de 16 mois après que l'armée israélienne ait lancé une offensive en réponse aux attaques de Hamas le 7 octobre. Les personnes qui reviennent se sont confrontées à des zones dévastées par les ruines après que l'armée israélienne ait détruit des quartiers entiers et que les militants…
Le weekend dernier a mis en lumière la fragilité des cessez-le-feu en place. Cependant, Israël, Hamas et Hezbollah ont chacun des raisons de reporter une nouvelle escalation, au moins pendant quelques semaines.
Des dizaines de milliers de Palestiniens déplacés sont en route ce lundi 27 janvier pour rentrer dans le nord de la bande de Gaza. Israël avait initialement bloqué ces retours, soulignant la non-libération d'Arbel Yehud, une civile captive à Gaza. La libération d'Arbel Yehud a finalement eu lieu jeudi.
Un porte-parole du gouvernement israélien a annoncé ce lundi 27 janvier que huit des otages israéliens inclus dans l'accord avec le Hamas sont décédés. Les familles ont été informées de la situation de leurs proches.
Le président américain Donald Trump a évoqué samedi 26 janvier l'idée d'un plan visant à "faire le ménage" dans la bande de Gaza. Il a déclaré vouloir envoyer les Palestiniens de ce territoire vers l'Égypte et la Jordanie "temporairement" ou "à long terme" pour obtenir la paix.
Des dizaines de milliers de Palestiniens déplacés sont en route depuis ce lundi 27 janvier pour rentrer dans le nord de la bande de Gaza. Des files de véhicules et de personnes se sont formées à Nousseirat.
Israël a empêché des milliers de Palestiniens de retourner dans le nord de Gaza. Il accuse Hamas de violer les conditions d'un fragile cessez-le-feu.
Le président de la coalition qui a réussi à mobiliser les Américains arabes pour voter pour Donald Trump, a critiqué les commentaires du nouveau président sur Gaza.
Le Hamas prévoit de libérer d'autres otages jeudi, dont Arbel Yehoud, après avoir convenu avec Israël que les Palestiniens déplacés pourront retourner dans le nord de Gaza à partir d'aujourd'hui.
Le président Trump a déclaré avoir contacté le dirigeant du Jordanie et avoir prévu de téléphoner au dirigeant d'Égypte. Cette suggestion de M. Trump s'inscrit dans une ligne de pensée partagée par des idéologies extrémistes israéliennes. Un responsable de Hamas a rejeté cette idée.
Israël et le Hamas ont trouvé un accord pour résoudre un différend concernant l'échange d'une civile israélienne en captivité. Ce désaccord menaçait de mettre fin au cessez-le-feu. En revanche, le Liban a connu la journée la plus meurtrière depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et Hezbollah.
Le président américain Donald Trump a annoncé samedi 26 janvier un plan visant à "faire le ménage" dans la bande de Gaza. Il souhaite envoyer les Palestiniens de ce territoire vers l'Égypte et la Jordanie "temporairement" ou "à long terme" afin d'obtenir la paix.
Le président des États-Unis a proposé samedi 25 janvier un plan de paix au Moyen-Orient qui prévoit de "faire le ménage" dans la bande de Gaza. Il suggère d'expulser les habitants de la région vers l'Égypte et la Jordanie. Ce plan vise à résoudre la crise en Palestine et à instaurer la paix dans la région.
Le président des États-Unis a proposé samedi 25 janvier un plan de paix au Moyen-Orient qui prévoit de "faire le ménage" dans la bande de Gaza. Ce plan prévoit de déplacer les habitants de Gaza vers l'Égypte et la Jordanie. Cette proposition a été faite dans le cadre d'un effort pour résoudre la crise palestinienne. L'image présente un plan de Donald Trump pour déplacer les Palestiniens vers l'Égypte…
Donald Trump a marqué sa première semaine de présidence par des actions controversées. Il a promulgué des décrets sur l'immigration et les programmes de diversité, et a proposé un plan de paix pour Gaza. Ces initiatives témoignent de sa volonté de façonner la politique et la société américaines selon ses propres principes. Son premier déplacement à Los Angeles a également été marqué par des actions politiques.
Dix soldats israéliens détenus par le Hamas ont été libérés dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu qui a mis fin à 15 mois de combats violents en Gaza. En parallèle, 200 prisonniers palestiniens ont également été libérés. Cet accord a permis de mettre fin à une période de violence intense et a ouvert la voie à la paix.
Avant leur libération, les otages, quatre soldats féminines, ont été conduits sur une scène à Gaza. Ils étaient entourés de combattants masqués et uniformés.
L'État d'Israël bloque le déplacement vers le nord de Gaza jusqu'à ce que des plans soient établis pour la libération d'Arbel Yehud, l'une des dernières femmes civiles détenues à Gaza.
Des jeunes femmes, désignées "spotters" par l'armée israélienne, ont signalé une activité suspecte sur la frontière. Lors de l'attaque de Hamas, 15 femmes ont été tuées et sept ont été enlevées. Quatre d'entre elles sont rentrées en Israël samedi.
France 24 diffuse en direct l'échange entre otages israéliens et palestiniens.
Le Hamas a libéré quatre soldats israéliens dans le cadre de la première phase de l'accord de cessez-le-feu conclu entre le mouvement islamiste et l'État hébreu. Israël a confirmé avoir libéré 200 détenus palestiniens. L'État hébreu demande notamment la libération d'Arbel Yehud et de Shiri Bibas avec ses deux enfants.
