LFI, ou La France Insoumise, est un parti politique français fondé en 2016. Il est connu pour son opposition à la politique économique et sociale du gouvernement actuel, ainsi que pour son engagement pour des valeurs progressistes et une société plus juste.
LFI se positionne généralement comme une force de gauche radicale et anti-capitaliste. Le parti est connu pour son engagement pour des politiques sociales plus progressives, comme l’abrogation de la réforme des retraites et la lutte contre la précarité. LFI est également un parti écologiste et s’engage pour une transition écologique.
LFI a été critiqué pour ses positions radicales et son engagement pour des politiques sociales et économiques radicales. L’abrogation de la réforme des retraites, par exemple, a été critiquée par certains comme étant une menace pour la stabilité économique.
LFI a eu un impact significatif sur la politique française. Le parti a contribué à la montée en puissance de la gauche radicale et a joué un rôle important dans les débats sur les questions sociales et économiques.
La Jeune Garde est un groupe d'autodéfense antifasciste fondé par le député LFI Raphaël Arnault. Il s'agit d'une initiative visant à contrer une extrême droite de rue particulièrement violente.
À quelques heures de la cérémonie d'investiture de Donald Trump en tant que 47e président des États-Unis à Washington, lundi 20 janvier, franceinfo reçoit la députée européenne LFI Manon Aubry. Elle s'inquiète du retour de l'homme d'affaires à la Maison Blanche.
L'eurodéputé Place publique a été l'invité de "Questions politiques" sur franceinfo et France Inter dimanche.
Le candidat à la présidentielle triple a déclaré dimanche que le parti d'Olivier Faure était désormais un simple "allié (...) de circonstance".
La France insoumise (FI) reproche au Parti socialiste (PS) d'avoir trahi l'union de la gauche en ne censurant pas le gouvernement de François Bayrou, jeudi 16 janvier. La FI considère que le PS a choisi de ne pas s'opposer à la présence de ce gouvernement, malgré les critiques adressées à son action. Cette décision, selon la FI, témoigne d'une volonté de la gauche de ne pas se mobiliser…
Après avoir rejeté la motion de censure portée par la France insoumise (LFI) contre le gouvernement Bayrou, le Parti socialiste a déclaré qu'il n'était plus un partenaire de l'opposition. Jean-Luc Mélenchon, patron de LFI, a exprimé ce sentiment dimanche. Il a également salué la personnalité de François Bayrou, qu'il pense être en train de se préparer pour être candidat à la prochaine élection présidentielle.
Le député LFI de Seine-Saint-Denis était l'invité de l'émission "8h30 Franceinfo" le samedi 18 janvier 2025.
Les socialistes ont refusé de voter la motion de censure déposée par LFI contre le gouvernement de François Bayrou le jeudi 16 janvier. Cette décision a suscité la colère des députés insoumis.
Le Parti socialiste a été vivement critiqué par LFI jeudi soir. Mathilde Panot, présidente des députés Insoumis, a estimé que le Parti socialiste s'est isolé du reste du NFP.
La motion a été introduite par la présidente du groupe des députés LFI et 57 de ses collègues.
Dix-neuf candidats se sont déclarés pour les élections législatives dans la circonscription de Grenoble et ses banlieues, afin de succéder au député LFI sortant, Hugo Prevost.
Aurélien Le Coq, député LFI du Nord, et Ayda Hadizadeh, députée socialiste du Val d’Oise, ont participé au duel de Franceinfo le vendredi 10 janvier, à 11h/13h.
Éléonore Caroit, députée Renaissance des Français établis hors de France, et Alma Dufour, députée LFI de Seine-Maritime, ont participé au duel de Franceinfo, diffusé jeudi 9 janvier.
Les partis de gauche se sont réunis à Bercy mercredi pour une deuxième réunion. Seul LFI n'a pas participé. Jean-Luc Mélenchon a critiqué la "servilité" de certains partis. "Il y a quelque chose de désespérant à penser que discuter dans une démocratie où il n'y a pas de majorité, c'est se compromettre", a déclaré le socialiste.
Le député LFI de Seine-Saint-Denis était l'invité de franceinfo soir jeudi.
Les tensions au sein du Nouveau Front populaire sont vives. L'aile PS d'Olivier Faure et celle des Insoumis de Jean-Luc Mélenchon se disputent le leadership. Aurélien Taché, député LFI du Val-d'Oise, a accepté de commenter la situation sur franceinfo, jeudi 9 janvier.
La suspension de la réforme des retraites n'est plus un sujet tabou. Le gouvernement pourrait renoncer au délai de carence de trois jours pour les fonctionnaires. Cette mesure, jugée excessive par la gauche, pourrait être un moyen de rapprocher les partis de gauche et éviter la censure. Mercredi 8 janvier, les chefs de file du PS, du PC et des Verts ont rencontré le gouvernement à Bercy. Cette…
En fin d'année 2024, la proposition de loi visant à abroger le délit d'apologie du terrorisme a été relancée par les députés LFI. Cette initiative a suscité un débat intense, notamment en raison de l'attaque du Hamas. "CheckNews" a suivi l'avancée des procédures et a constaté une augmentation significative du nombre de poursuites depuis l'incident.
La décision de la justice a été soumise à délibéré. La date de la délibération est fixée au 14 février prochain.
La députée LFI de Seine-Saint-Denis était l'invitée du programme "8h30 franceinfo" le mardi 24 décembre.
Le député LFI de Seine-Saint-Denis était l'invité du programme "8h30 franceinfo" le samedi 21 décembre 2024.
Le Premier ministre a réuni les présidents de partis et de groupes parlementaires jeudi 19 décembre. Cette rencontre a pour objectif de poursuivre les discussions sur la formation d'un gouvernement. L'exclusion de LFI et du RN de cette réunion est significative.
François Bayrou poursuit ses consultations pour constituer son gouvernement. Les discussions de jeudi, sans participation du RN et du LFI, ont permis à Bayrou de proposer de poursuivre la réforme des retraites de 2023 sans interruption.
Marine Tondelier n'a pas encore pris de décision quant à son participation à la réunion à Matignon prévue jeudi. Le Premier ministre souhaite réunir les forces politiques hors RN et LFI afin de proposer un gouvernement à Emmanuel Macron.
François Bayrou a convoqué les forces politiques à Matignon jeudi, sans le RN ni LFI. Cette rencontre s'inscrit dans la recherche d'un gouvernement. Des menaces de censure, plus précises et perçues comme plus sérieuses, ont accru la pression.
François Bayrou a été nommé Premier ministre par Emmanuel Macron le 13 décembre. Louis Boyard, député LFI du Val-de-Marne, a participé à l'émission "Autrement dit" sur franceinfo.
Emmanuel Macron a convoqué mardi les partis politiques, hors RN et LFI, afin d'avancer sur la nomination d'un Premier ministre. Plusieurs noms sont évoqués pour ce poste, alimentés par les entourages des candidats ou par l'Élysée. Le choix du successeur de Élisabeth Borne est crucial pour la stabilité du gouvernement. Le processus de désignation du Premier ministre est complexe et implique des négociations entre les différents partis politiques.…
Le Président recevra mardi 10 décembre l'ensemble des formations politiques, sauf le Rassemblement National et La France Insoumise.
Le président Emmanuel Macron a organisé mardi 10 octobre à l'Élysée une rencontre avec tous les partis politiques, à l'exception de LFI et du RN. Cette rencontre a pour objectif de discuter des conséquences de la censure du gouvernement Barnier.
Le président de la République a organisé une rencontre mardi avec tous les partis politiques, à l'exception de ceux de droite, le Rassemblement National (RN) et La France Insoumise (LFI).
Le président français a convoqué les chefs de partis politiques, hors RN et LFI, afin de trouver un consensus pour nommer un Premier ministre. L'objectif est de contourner une nouvelle censure. Le président a annoncé qu'il nommera le nouveau Premier ministre dans les 48 heures.
Emmanuel Macron a rencontré ce mardi 10 décembre, les chefs des partis politiques à l'Elysée. L'occasion a été donnée pour annoncer son intention de nommer un nouveau Premier ministre "dans les 48 heures". Le président a exclu les partis RN et LFI de cette réunion.
Emmanuel Macron a organisé mardi 10 octobre à l'Élysée une rencontre avec tous les partis politiques, à l'exception de LFI et du RN. L'objectif est de créer une plateforme commune pour travailler ensemble après la censure du gouvernement Barnier. Les discussions sont prévues pour être difficiles.
Après avoir reçu les écologistes, les communistes et les indépendants lundi matin, Emmanuel Macron a invité "l'ensemble des partis", hors LFI et RN, à l'Élysée ce mardi. Ce rassemblement vise à construire le futur gouvernement. Cinq jours après la censure du gouvernement de Michel Barnier, cette initiative marque une nouvelle méthode de collaboration politique.
Laurent Wauquiez, chef de file des députés Les Républicains, a déclaré que son groupe ne votera pas pour renverser le prochain gouvernement, à moins que le gouvernement ne compte des députés LFI ou applique le programme du NFP.
Les Insoumis ont annoncé qu'ils ne se rendraient pas à l'Elysée pour rencontrer le chef de l'État lundi, dans le cadre des consultations pour former un nouveau gouvernement. Cette décision contraste avec celle de LFI, qui a annoncé vouloir participer à ces consultations.
Le Parti socialiste a mené des démarches auprès du chef de l'Etat. Ces démarches ont été menées par les cadres du parti. Le coordinateur national de LFI affirme que ces démarches ne concernent que le chef de l'Etat.
Emmanuel Macron poursuit ses consultations avec les différents groupes politiques. Ces consultations visent à construire une majorité pour la réforme des retraites. L'extrême gauche, représentée par le parti La France Insoumise (LFI), a refusé de participer à ces consultations. Le parti a exprimé son opposition à la réforme des retraites et a déclaré ne pas être prêt à discuter avec le président de la République.
Le député LFI a justifié la décision de son parti de ne pas se rendre à l'invitation d'Emmanuel Macron pour des discussions sur le futur gouvernement. Il a appelé le parti socialiste à la raison.
Les chefs du parti socialiste ont rencontré Emmanuel Macron pour discuter de la formation d'un nouveau gouvernement. LFI a refusé de participer à ces discussions. Le Nouveau Front Populaire, qui rassemble plusieurs partis, est confronté à un défi majeur : peut-il survivre? Franceinfo a interrogé des électeurs sur leur opinion face à cette situation.
La motion de censure de la gauche sera examinée en premier lors de la session parlementaire. Le député et coordinateur national de LFI a rappelé cette information. Le parti Rassemblement National a déjà déclaré son vote en faveur de la motion, ce qui pourrait entraîner la chute du gouvernement Barnier.
Le gouvernement de Michel Barnier pourrait tomber cette semaine suite à des motions de censure déposées par LFI et le RN. À gauche, les dissensions réapparaissent.
Le député MoDem Nicolas Turquois a été l'invité de France Bleu Poitou ce vendredi matin. Il a abordé l'altercation qui s'est produite entre lui et le député LFI Antoine Léaument à l'Assemblée nationale jeudi soir.
Le dirigeant, qui a déjà tenté trois fois d'accéder à la présidence, a proposé une alliance politique. Cette alliance est fondée sur le programme de La France Insoumise (LFI).
Les débats sur un texte de LFI proposant d'abroger la réforme des retraites de 2023 se sont achevés jeudi soir à l'Assemblée nationale. La loi n'a pas pu être votée. La journée a été marquée par de vives tensions dans l'hémicycle, les huissiers ont dû s'interposer entre plusieurs députés.
Alma Dufour, députée LFI, et Violette Spillebout, députée Renaissance, ont participé à l'émission Franceinfo le 27 novembre à 11h/13h.
La cheffe de file des députés LFI, Mathilde Panot, a réagi à l'affaire en déclarant : "Nous ne parlons pas de poissons, mais d'êtres humains".
Le député La France insoumise (LFI), Ugo Bernalicis, a déposé une proposition de loi visant à abroger le délit d'apologie du terrorisme du code pénal. Cette initiative vise à le remettre dans le droit de la presse, comme il était avant 2014. Cette proposition a suscité une polémique ces trois derniers jours. L'idée erronée est que LFI souhaite abolir complètement l'apologie du terrorisme. En réalité, l'objectif de Bernalicis…
Les députés de la France insoumise (LFI) ont présenté un texte visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme. Ils estiment que ce délit entrave la liberté d’expression. Cette proposition a suscité une forte réaction négative.
