Yoon Suk-yeol
Biographie
Yoon Suk-yeol est le président de la Corée du Sud depuis le 10 mai 2022. Il est un juriste et ancien ministre de la Justice. Il a été élu président après une campagne axée sur la sécurité nationale et l’économie.
Politique
Yoon Suk-yeol a mis en place la loi martiale en décembre 2022 pour répondre à des menaces potentielles de la Corée du Nord. Cette décision a été vivement critiquée par l’opposition et les organisations civiles. La loi martiale a été levée après un vote au Parlement.
Yoon Suk-yeol a également été confronté à des difficultés internes au sein de son propre parti. Il a été accusé de coup d’État et de violation des droits de l’homme. La Corée du Sud est confrontée à un chaos institutionnel avec la loi martiale et la rue.
Controverses
La loi martiale a été critiquée par de nombreux observateurs internationaux, qui ont qualifié la décision de Yoon Suk-yeol d’un coup d’État. L’opposition a également accusé Yoon Suk-yeol de vouloir imposer une dictature.
Yoon Suk-yeol a également été critiqué pour sa gestion de la crise économique et sociale en Corée du Sud. Il a été accusé de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour lutter contre la pauvreté et l’inégalité.
Réactions
La décision de Yoon Suk-yeol a été accueillie avec surprise et indignation par la population coréenne. Des milliers de personnes ont manifesté contre la loi martiale et ont exigé la démission du président.
Les organisations internationales ont également condamné la loi martiale et ont appelé à la restauration de la démocratie en Corée du Sud.
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Le Bureau d'enquête sur la corruption a conclu après 51 jours d'investigation que le président sud-coréen déchu Yoon Suk-yeol devrait être poursuivi pour rébellion et abus de pouvoir. Les enquêteurs ont remis leurs conclusions au parquet, qui dispose de 11 jours pour trancher.
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Le président Yoon Suk Yeol, ancien procureur, était connu pour mettre des gens en prison. Après son arrestation officielle, il est lui-même emprisonné, seul dans une cellule.
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Yoon Suk Yeol, le nouveau président de la Corée du Sud, a été arrêté par des enquêteurs criminels, marquant une première dans l'histoire du pays. Cette situation a mis fin à un long conflit qui a suivi l'imposition de la loi martiale par le président.
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Le dirigeant sud-coréen Yoon Suk-yeol a été arrêté mercredi pour "rébellion" et refuse de répondre aux questions des enquêteurs. Son avocat affirme que son client est "souffrant" et ne pourra pas se soumettre à un nouvel interrogatoire prévu jeudi. Les enquêteurs tentent alors d'obtenir une prolongation de la détention du dirigeant.
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Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a été arrêté, six semaines après son tentative infructueuse d'imposer le martial law.
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L'ancien président sud-coréen, Yoon Suk Yeol, a été arrêté par les enquêteurs. C'est la première fois qu'un président en exercice du pays est détenu pour des accusations criminelles. Choe Sang-Hun, chef de bureau de la section de Séoul pour The New York Times, explique comment nous sommes arrivés là et ce que cela signifie pour le futur de la Corée du Sud.
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Le Conseil constitutionnel a commencé à examiner la possibilité de retirer Yoon Suk Yeol de son poste. Malgré cela, il a continué à résider dans sa résidence fortifiée tandis que des plans de son arrestation étaient élaborés par les enquêteurs.
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Yoon Suk Yeol, le nouveau président de la Corée du Sud, a été arrêté pendant son mandat, une situation inédite. Cette action a mis fin à un conflit tendu entre ses partisans et les autorités.
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Les enquêteurs sud-coréens ont arrêté Yoon Suk-yeol, le président déchu. Il est actuellement en garde à vue au bureau du CIO, où il est interrogé sur sa tentative d'imposer la loi martiale début décembre. Le président déchu garde le silence.
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Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a été arrêté mercredi par des enquêteurs. Cette mesure, sans précédent, s'inscrit dans le contexte de la crise politique qui a suivi sa tentative échouée d'imposer la loi martiale début décembre. Des milliers de partisans de Yoon Suk-yeol se sont rassemblés devant sa résidence pour "protéger" le président. Chloé Borgnon, correspondante de France 24 à Séoul, a fourni des explications sur la situation.
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La Cour constitutionnelle, arbitre d'une nation polarisée, se prépare à trancher sur la légitimité de l'impeachment de Yoon Suk Yeol pour avoir déclaré la martial law.
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La Cour constitutionnelle sud-coréenne a ouvert un examen de la destitution du président Yoon Suk-yeol. Cette procédure a été lancée suite à sa tentative infructueuse d'imposer la loi martiale. Le président n'a pas participé à l'audience. Quatre autres sessions sont prévues.
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Les manifestations quotidiennes de soutien à Yoon Suk-yeol, le président destitué de Corée du Sud, offrent aux manifestants un espace pour exprimer leurs convictions. Ces rassemblements, empreints d'un certain esprit de rassemblement, présentent des similitudes avec les manifestations de soutien à Donald Trump aux États-Unis. Les symboles et les slogans utilisés par les manifestants sud-coréens rappellent les éléments distinctifs du mouvement "Make America Great Again" (Maga). Cette convergence…
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Le dossier, qui portait sur une enquête sur la mort d'un marin, avait alimenté des tensions politiques depuis longtemps avant l'impeachment du président Yoon Suk Yeol il y a un mois.
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Le service de sécurité du président Yoon Suk Yeol a arrêté une tentative de le mettre en détention pour des accusations d'insurrection. Il a promis de faire de même à l'avenir. Cette action est issue de l'époque des dictatures militaires.
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Les YouTubers de droite ont contribué à l'élection du président Yoon Suk Yeol. Maintenant qu'il a été démis de ses fonctions, ils mobilisent ses partisans avec des théories du complot.
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Le service anticorruption sud-coréen a jusqu'à lundi soir pour arrêter le président déchu Yoon Suk-yeol. Il est actuellement retranché avec sa garde rapprochée dans sa résidence de Séoul. Les enquêteurs ont annoncé lundi qu'ils demanderaient un délai supplémentaire pour mettre en œuvre le mandat d'arrêt.
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Des milliers de personnes se sont rassemblées à Séoul dimanche, à la veille de l'expiration d'un mandat d'arrêt émis contre le président sud-coréen déchu Yoon Suk Yeol. Ce mandat d'arrêt a été délivré pour sa tentative ratée d'imposer la loi martiale début décembre. Les partisans et détracteurs du président ont bravé la neige pour exprimer leur soutien ou leur opposition. L'image montre les manifestations qui ont eu lieu…
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Les officiels ont été contraints de se retirer après plusieurs heures d'attente, sans obtenir un mandat de justice pour arrêter le président Yoon Suk Yeol pour des accusations d'insurrection. Ils ont été bloqués par des gardes du corps.
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Les influenceurs de droite sur YouTube ont contribué à la victoire du président Yoon Suk Yeol lors de ses élections. Ils sont désormais ses alliés face à l'imposition de la loi martiale maladroite de son gouvernement.
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Des milliers de Sud-Coréens se rassemblent samedi à Séoul, dans un contexte politique tendu. La tentative d'arrêter le président déchu Yoon Suk-yeol, accusé de "rébellion" pour avoir tenté d'imposer la loi martiale début décembre, a alimenté la tension. L'ordre d'arrestation du tribunal court jusqu'à lundi, laissant planer l'incertitude sur l'avenir du pays. Les scénarios possibles sont nombreux. La situation pourrait se dénouer avec un accord politique, ou elle…
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En Corée du Sud, la situation politique est tendue. Des milliers de manifestants réclament l'arrestation du président déchu Yoon Suk-yeol, accusé de rébellion. Les partisans du président déchu s'opposent à sa destitution, contribuant à un climat de chaos démocratique croissant.
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Les officiels ont été contraints de se retirer après plusieurs heures d'attente, sans obtenir un mandat de justice pour arrêter le président Yoon Suk Yeol pour des accusations d'insurrection. Ils ont été bloqués par des gardes du corps.
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Les enquêteurs sud-coréens ont renoncé à arrêter le président déchu Yoon Suk-yeol. Ils ont été empêchés de le faire par une garde rapprochée qui répondait à une chaîne de commandement stricte. Cette décision a été prise vendredi. Le président déchu n'a pas été arrêté malgré les investigations menées contre lui. La situation reste tendue et les autorités sud-coréennes sont prises en charge par une force de sécurité stricte.
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Les enquêteurs ont dû suspendre leur tentative d'arrestation de l'ex-président Yoon Suk Yeol. Cette décision a été prise en raison d'un blocage des investigations et d'inquiétudes concernant la sécurité des agents impliqués. L'image présente un reportage de la tentative d'arrestation qui a échoué.
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En Corée du Sud, le mandat d'arrêt du président pourrait être exécuté ce jeudi 2 janvier. Le chef de l'État est suspendu de ses fonctions, mais reste officiellement en place. La situation est complexe et les détails sont précisés par Chloé Borgnon, correspondante France 24 à Séoul.
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En Corée du Sud, l'arrestation du président déchu Yoon Suk-Yeol pourrait avoir lieu ce jeudi 2 janvier. L'agence de presse sud-coréenne Yonhap annonce cette information. Cependant, ses partisans se rassemblent devant sa résidence pour protester contre cette éventuelle arrestation.
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Les enquêteurs sud-coréens ont dû abandonner leur tentative d'arrestation du président déchu Yoon Suk-yeol à Séoul. Le 3 décembre, Yoon avait tenté d'imposer la loi martiale, ce qui a déclenché une réaction de la part des membres du "service de sécurité" présidentiel. Face à cette résistance, les enquêteurs ont été contraints de suspendre leur opération.
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Les enquêteurs sud-coréens ont commencé à exécuter un mandat d'arrêt contre Yoon Suk-yeol, le président déchu. Ils ont été bloqués par une unité militaire à l'intérieur de la résidence présidentielle. La situation reste incertaine, et il est difficile de savoir ce qui se passe réellement à l'intérieur. L'agence de presse Yonhap a rapporté que les enquêteurs ont été bloqués. La correspondante à Séoul, Chloé Borgnon, a déclaré que…
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Une cour de justice a ordonné à l'enquête sur la corruption de procéder à l'arrestation du président déchu Yoon Suk Yeol en Corée du Sud. Cette décision intervient suite à sa tentative infructueuse d'imposer la loi martiale. L'arrestation est liée à l'affaire de la tentative de coup d'État. L'image présente Yoon Suk Yeol lors d'une rencontre avec le président polonais Andrzej Duda.
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Le président Yoon Suk-yeol a résisté à son arrestation pour la troisième journée consécutive. Il a affirmé sa détermination à "se battre jusqu'à la fin" contre les autorités qui souhaitent l'interroger concernant sa tentative d'imposer la loi martiale.
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Les autorités enquêtent sur l'intention du président Yoon Suk Yeol de mener une insurrection lorsqu'il a déclaré la loi martiale et plongé le pays dans la crise.
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Les autorités enquêtent sur l'intention du président Yoon Suk Yeol de mener une insurrection lorsqu'il a déclaré la loi martiale et plongé le pays dans la crise.
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La justice sud-coréenne a ordonné mardi un mandat d'arrêt contre le président déchu Yoon Suk-yeol. L'objectif est d'interroger le président sur sa tentative infructueuse d'imposer la loi martiale. Cette décision intervient suite à des investigations sur les accusations de violations de la constitution et de la loi. Yoon Suk-yeol a été contraint de démissionner après une controverse sur sa gestion de la crise politique. La justice sud-coréenne continue…
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Selon un rapport du parquet sud-coréen, l'ancien président Yoon Suk-yeol a autorisé l'armée à ouvrir le feu pour entrer au Parlement début décembre lors de sa tentative ratée d'imposer la loi martiale.
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La Cour constitutionnelle sud-coréenne a tenu une première réunion lundi pour discuter du calendrier de la procédure de destitution de Yoon Suk-yeol. Le chef du parti au pouvoir a été sanctionné pour sa loi martiale éphémère. Les juges ont six mois pour se prononcer. La même journée, Yoon Suk-yeol a annoncé sa démission.
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Les Sud-Coréens ont exprimé leur joie et leur soulagement à Séoul, en larmes et en cris, suite au vote par le parlement de la destitution du président Yoon Suk Yeol. Sa tentative d'imposer la loi martiale a été rejetée, marquant un tournant dans la situation politique du pays.
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Le Parlement sud-coréen, dirigé par l'opposition, a voté la suspension des fonctions de Yoon Suk Yeol, le président du pays. Cette décision intervient suite à sa tentative d'imposer la loi martiale au début du mois. L'opposition a pris cette décision après avoir jugé que la loi martiale était une violation des droits de l'homme et une atteinte à la démocratie. Jean-Yves Colin, analyste Asie du Nord chez Asie…
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Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a temporairement instauré la loi martiale dans la nuit du 3 au 4 décembre. Cette mesure a surpris le pays et a provoqué une réaction forte. Une motion de destitution a été déposée, mais elle a échoué, avec des élus qui ont boycotté le vote.
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Les députés sud-coréens ont voté ce samedi 14 décembre en faveur de la destitution du président Yoon Suk Yeol. Le président avait temporairement instauré la loi martiale le 3 décembre, suscitant une réaction forte au sein du pays.
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Le président de la Corée du Sud, Yoon Suk-yeol, a temporairement instauré la loi martiale le 3 décembre. Le Parlement a ensuite voté sa destitution.
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Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a affirmé lors d'un discours télévisé qu'il se battra "jusqu'à la dernière minute" face à la motion de destitution prévue pour samedi. Il a accusé l'opposition, qui la soumettrait au vote, de vouloir provoquer une "crise nationale".
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Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a affirmé qu'il continuerait à lutter contre la destitution, accusant l'opposition de provoquer une crise nationale. Son discours surprise, prononcé jeudi 12 décembre, a mis en lumière son détermination à ne pas démissionner. Il a affirmé qu'il se battra jusqu'à la dernière minute pour défendre son mandat. L'opposition a critiqué la tentative de Yoon Suk-yeol d'imposer la loi martiale il y a une…
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La police a indiqué avoir rencontré des obstacles lors de sa perquisition des bureaux du président Yoon Suk Yeol. Cette action intervient suite à la tentative de l'homme d'affaires de mettre en place la loi martiale il y a une semaine. Les autorités ont confirmé avoir été confrontés à des obstacles lors de la perquisition. L'image présente le complexe présidentiel de Séoul.
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La police de Corée du Sud a mené des perquisitions au bureau du président Yoon Suk-yeol. Cette action a suivi la tentative manquée de l'administration de l'imposition de la loi martiale. Le principal parti d'opposition a fixé à 8 heures du matin du samedi prochain la soumission de sa deuxième motion de destitution contre le président.
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Le Parti du pouvoir de Yoon Suk-yeol a réussi à empêcher une motion de destitution déposée contre le président sud-coréen. Cette action a été critiquée par le chef du Parti démocrate, qui l'a qualifiée de "deuxième coup d'État" et d' "anticonstitutionnelle". Le Parti du pouvoir est accusé d'avoir utilisé ses pouvoirs pour continuer à gouverner malgré la volonté populaire exprimée par la motion de destitution.
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Quatre jours après avoir tenté d'imposer la loi martiale, le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a échappé à une motion de destitution. La séance a été boycottée par la majorité des députés du parti au pouvoir.
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Le président de la Corée du Sud, Yoon Suk-yeol, a été poussé vers la sortie de son poste par son parti. Cette décision a suivi une tentative de destitution qui a mis en lumière les tensions internes au sein du gouvernement. Son ex-ministre de la Défense a été arrêté dimanche matin pour son rôle dans l'éphémère loi martiale. Cette loi, qui a été adoptée pour une courte période,…
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Le président de Corée du Sud, Yoon Suk-yeol, a été visé par une motion de destitution après avoir tenté d'imposer la loi martiale cette semaine. La motion n'a pas été votée, car des élus de son parti ont choisi de boycotter le scrutin.