La neuvième nuit de mobilisation consécutive en Géorgie a été marquée par une tension croissante entre manifestants pro-UE et la police. Le Premier ministre a promis d' »éradiquer » ce qu’il qualifie de « fascisme libéral » dans le pays. Les manifestations, qui ont débuté le 29 novembre, ont été suivies par des affrontements avec la police.
Le contexte politique est marqué par une opposition croissante à l’Union européenne et à l’intégration économique. Les manifestants, qui réclament une plus grande autonomie et une protection des traditions géorgiennes, se heurtent à la répression policière.